La Fédération
Naissance
La Fédération de la médecine complémentaire a été fondée le 30 octobre 2009. Elle a repris le flambeau du forum pour une médecine intégrale (ffg) et du comité d’initiative » Pour la prise en compte des médecines complémentaires « . Le but de la Fédération est de voir appliquées les revendications centrales de la votation. Les membres fondateurs sont des organisations de médecins et de thérapeutes, des hôpitaux, écoles, organisations de la santé, l’Association suisse des droguistes et l’Association suisse pour les médicaments de la médecine complémentaire ASMC.
Buts, objectif et mise en œuvre
La Fédération s’engage pour que le domaine de la santé en Suisse prenne en compte les médecines complémentaires et alternatives. Son but est notamment l’application des revendications centrales liées à l’article 118a « Médecines complémentaires » de la Constitution fédérale.
- Promotion de la médecine intégrative (collaboration entre la médecine traditionnelle et complémentaire)
- Admission des méthodes médicales de la médecine complémentaire dans l’assurance de base et dans les autres assurances sociales (SUVA, assurance militaire et assurance invalidité)
- Encouragement de l’enseignement et de la recherche
- Création de diplômes nationaux et d’autorisations cantonales de pratiquer pour les thérapeutes non-médicaux
- Garantie de la diversité des produits thérapeutiques
Activités
Afin de réaliser le but de l’association, la Fédération prend des mesures appropriées, lance des projets et peut participer activement à des actions de tiers. Ses tâches sont notamment :
- représenter les intérêts auprès du corps législatif, de l’exécutif et des autorités fédérales et cantonales (participation aux discussions sur la politique de la santé, aux procédures de consultation et participation à des interventions, lancement d’initiatives et référendums populaires cantonaux)
- assurer le secrétariat général du groupe parlementaire Médecine complémentaire
- service de presse (médias spécialisés et publics)
- créer et gérer des passerelles avec l’étranger